Publié le : 05 novembre 20194 mins de lecture

Dans certaines universités, un contrôle des connaissances a lieu tous les semestres. Dans d’autres, ils sont organisés une seule fois à la fin de l’année. Dans les entreprises également, des contrôles de connaissances minimales sont organisés pour vérifier le niveau des employés. Mais de quoi s’agit-il exactement ?

Le certificat de contrôle de connaissances

Le certificat de contrôle de connaissances est un document officiel qui atteste des capacités intellectuelles d’un individu dans un domaine donné. Il peut en exister autant qu’il existe de secteur d’activité. Le certificat pour un emploi dans le domaine animalier est donc différent de celui dans le commerce, entre autres.

Les étudiants doivent passer par des examens et des contrôles de connaissances pour passer au niveau supérieur chaque année. Le certificat en question suit le même principe. Dans le cadre professionnel, il peut jouer sur la candidature et permettre d’accéder à un poste en particulier ou d’obtenir une promotion.

Le certificat de connaissances dans la vie professionnelle

Un employeur peut demander la tenue d’examens de connaissances générales ou spécifiques dans son domaine de travail. C’est le cas lorsqu’il souhaite engager de nouvelles personnes, ouvrir de nouvelles fonctions ou de nouvelles promotions.

L’objectif est simplement de tester leur niveau de connaissances. Après quoi, un certificat est offert. Si le candidat réussit l’épreuve, il a droit à un poste ou à une promotion, selon le cas.

Il existe deux types de certificats professionnels : le certificat externe, valable dans le domaine d’activité toutes sociétés confondues, et le certificat interne appelé certificat de « grand-père », valable uniquement dans la même société.

La loi exige que les entreprises voulant effectuer ce genre d’examens en fassent la demande et répondent aux réglementations en la matière.

Les effets du certificat

Le certificat de contrôle de connaissances a des conséquences directes pour les personnes concernées. Il peut être utile pour l’emploi en cours, et pour un travail futur. En effet, l’employé qui a obtenu une certification et qui a réussi les examens n’est plus tenu de les refaire auprès d’un nouvel employeur dans le même secteur d’activité. L’examen est donc valable pour toujours, mais ne peut être réalisé qu’une seule fois, le certificat étant acquis d’office.  Si la certification se limite à des compétences spécifiques dans une seule société, avec un certificat dit de « grand-père », l’employé doit faire de nouveaux examens s’il change de prestataire. Si ce dernier fait partie du même groupe que le précédent, le certificat conserve ses effets. Une condition a été imposée dans ce cas. Il faut que les contrôles effectués rentrent dans le même cadre de travail que le nouvel emploi.

Si c’est un nouvel employeur dans une nouvelle entité, il peut demander un nouveau contrôle de connaissances.